New York – Vos profits sur la campagne de produits hygiéniques

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Bonjour!

On me demandait quel était le profit pour la vente de produits hygiéniques White Swan:

Papier de toilette: 10,57 par caisse vendue

Mouchoirs: 9,34 par caisse vendue

Essuie-tout: 9,76 par caisse vendue

Notez bien que vous devez remettre le total de vos ventes. Nous nous chargerons de déduire vos profits de votre facture. Vous devez avoir remis votre premier dépôt de 150$ afin de recevoir votre pochette de vente.

Première réunion pour New York

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Petit résumé!

Tout d’abord, merci d’avoir été là! C’est un superbe projet!

Quand: du mardi 19 mai au vendredi 22 mai 2020

Où: New York

Coût : Nous attendons les soumissions comme je l’ai annoncé. Notez que jusqu’à 30 jour avant le voyage, les coûts peuvent varier légèrement (taux de change, etc.). Je vous tiens au courant aussitôt que j’ai un montant à vous transmettre!

Nombre de places: 40 à 50 personnes admissibles , premier arrivé, premier servi! Vous devez avoir fait votre demande de passeport ou visa/titre de voyage afin de le recevoir pour ou autour du 1er mars 2020.

*** Notez que la direction a un droit de regard sur votre participation***

(absences, comportement, état de santé, etc.)

Premier dépôt: 150$ et la date de tombée est le 20 décembre. En échange, vous recevez la pochette vous permettant de débuter votre campagne de financement (produits hygiéniques).

Hébergement: quadruple (donc deux par lit, quatre par chambre)

Élèves subventionnés par le CLE ou aide sociale: vous devez demander l’autorisation à votre agent et remplir la feuille à cet effet. (Venez me voir au B 208 si vous ne l’avez pas reçue) et la remettre à Lynda Morin (ou à moi et je lui remettrai).

Si ton parcours est terminé (et réussi) après la relâche mais avant le voyage, tu pourras participer aux mêmes conditions que les autres.

Campagnes de financement: 

1- Produits hygiéniques: cette campagne peut vous rapporter beaucoup! Profitez-en! N’oubliez pas que c’est de l’argent comptant seulement (sauf entente) et que les montants complets doivent être retournés avec la pochette le 10 janvier 2020 ou avant afin de recevoir à temps la commande. Nous nous chargerons de déduire les montants de votre facture selon vos profits. Cette campagne est individuelle donc les profits ne sont pas répartis au groupe.

2- Emballage pourboire: Marché Dessaules de St-Hyacinthe les 18 et 19 janvier 2020 (j’ai besoin de 8 à 16 personnes)

3- Cornets de bonbons en vente semaine St-Valentin (j’ai besoin de 8 personnes environ)

4- Souper bénéfice vers la fin mars-début avril (j’ai besoin de beaucoup de personnes, je vous reviens avec cela).

Voici les activités que nous avons demandées pour le voyage:

Balade d’exploration dans Central Park et la 5e avenue : Central Park, Imagine, Trump Tower, St-Patrick Cathedral, Rockefeller Center, etc. -Times Square -Spectacle sur Broadway -Tour guidé dans le quartier Midtown -Balade à pied sur le pont de Brooklyn -Ferry pour la Statue de la Liberté -Observatoire du One Wolrd Trade Center -Musée de Madame Tussaud -Visite du New York’s honeycomb walk create buzz, temps libre et de magasinage (2 périodes de 2 à 3h)

Nous serons Joseline et moi tous les mardis de décembre à 12h00 dans le corridor du premier étage pour votre dépôt (3, 10 et 17 décembre). De plus, mon local est le B 208, vous pouvez souvent m’attraper là entre deux périodes ou après le dîner… 

Merci à tous les voyageurs 🙂

 

 

 

 

New-York, New-York

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Du 19 au 22 mai, le CFM part pour La grosse pomme!

Le projet, piloté principalement par Véronique Leiffet, a été accepté et nous sommes très heureux de vous annoncer que nous partons pour New-York du 19 au 22 mai!

Les élèves qui partiront auront d’ailleurs la chance de participer à des campagnes de financement.

Vous vous tiendrons au courant des activités!

 

 

En sens inverse…

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En sens inverse…

Par: Benjamin Lorion

Vous savez, ce moment où vous ne pensez qu’à tout quitter pour autre chose?

Eh bien, moi je l’ai fait.

J’étais inspiré, à ce moment-là, par les personnages des histoires que j’avais lues dans les livres d’aventure de mon enfance. J’avais la même audace en moi que Jane Goodal et cette soif de l’inconnu à la Indiana Jones!

Après plusieurs mois à m’être demandé ce que je pouvais bien faire de ma vie sans diplôme ni argent en banque, et pour couronner le tout, avec une santé qui ne tenait qu’à un fil (le genre de situation dans laquelle tu te dis à toi-même je n’ai plus rien à perdre), j’ai décidé que ce que je voulais se résumait à voir le monde.

Certains m’ont traité de fou et d’autres m’ont jalousé, mais ne vous y méprenez pas, ce n’était ni de la folie ni de la chance. C’était tout simplement mon rêve et j’avais décidé de le réaliser.

Je voulais tout laisser derrière et partir en mode bourlingueur.

Je n’avais plus qu’à quitter mon emploi, vendre mes biens et filer vers les boutiques de plein-air pour m’équiper.

Ça me semblait si simple!

J’avais lu plusieurs articles à ce moment-là sur l’organisation de ce genre de voyage et j’étais incertain sur ce que je devais apporter avec moi. Plusieurs disaient d’acheter le meilleur et d’autres me conseillaient des alternatives moins coûteuses.

N’oubliez pas, je n’avais pratiquement pas un rond en poche.

Je me souviens que je m’étais dit : « Allez, tu y vas comme tu peux et au diable les dépenses! ».

MAIS QUELLE IDÉE DE GÉNIE!

C’était maintenant officiel, je n’avais littéralement plus une cenne.

Les gens ne me croyaient pas quand je leur avais annoncé mon idée la première fois.

«On le sait Benjamin avec ses projets de fou!»

Quatre jours de bus plus tard et les montagnes de l’Ouest canadien qui me regardent de haut, je décide d’avoir une petite conversation avec mon «être» intérieur.

Ça devait ressembler à quelque chose du genre…

Quatre jours de «putain» de bus pour me rendre de l’autre côté du pays! Vous pouvez me dire à quoi j’ai pensé pour faire ça? C’est pas pour moi voyager! Je suis fatigué, j’ai faim, je sens la vieille étable moisie et tout ce que je veux c’est retrouver mon lit.

AH, mais oui le génie! Tu as tout vendu, alors tu lèves ton cul et tu vas au moins essayer parce que tu ne t’es pas rendu jusqu’ici pour tout foirer comme à chaque fois que tu fais quelque chose. GO!

Quelques heures plus tard à m’être perdu dans les sentiers du Parc national de Banff, je me retrouve près d’une petite rivière où je décide de bifurquer des chemins principaux pour longer la rive afin de me trouver un endroit confortable pour monter ma tente.

Tiens… un pont! Pourquoi ne pas faire mon clochard tant qu’à me sentir comme si j’en étais un?

Je vois que des gens avaient déjà eu la même idée que moi dans les derniers jours. Il y a des cannes de conserve et quelques restants de ce qu’on peut appeler «une bonne cuite» tout autour d’un tas de roches qui doit avoir servi pour un feu de camp.

La nuit commence à tomber alors je suis mieux de me dépêcher de me faire un petit feu si je veux avoir un peu de chaleur.

Vous avez déjà dormi dans une tente quand il fait -5 degré à l’extérieur et que vos équipements de camping sont faits pour les températures chaudes?

Si oui, imaginez le froid qui transperça mon corps durant les heures qui suivirent…

À ce moment précis, je me dis que je dois rester éveillé pour combattre le froid, mais…

QUELLE BONNE IDÉE ENCORE!

Je me réveille pour entendre les bruits des bêtes sauvages qui se trimbalent autour de moi. Tout va bien, jusqu’au moment où BAM!

C’est Mademoiselle Paranoïa qui décide de s’installer sans préavis dans mon esprit déjà fragilisé par la solitude.

À ce moment-là, je ne peux m’empêcher d’imaginer autre chose qu’une scène de film où un gros grizzli déchiquette la toile de ma tente, me grignote comme un maïs dans une épluchette de blé d’inde. Le tout suivi d’une mort lente et brutale causée par l’attaque. D’une façon ou d’une autre, ce n’est certainement pas mes vieilles chaussettes qui vont combler la faim de cette terrible bête affamée.

Après ces visions, vous pouvez bien vous imaginer qui vient faire un petit tour au côté de miss Paranoïa pour me dire sa façon de penser? Eh bien oui, c’est cette petite voix intérieure :

BRAVO LE GÉNIE!

Tu sacres toute ta vie d’un coup de pelle en l’air et après seulement quatre jours de transport, tu es mort sur le bord d’une rivière, seul et congelé!

Applaudissements…

Indiana Jones se foutrait bien de ma gueule!

Enfin, je réussis à fermer l’œil après quelques débats avec mon esprit tourmenté. Je suis tellement fatigué et sous le choc de cette terrible nuit que je me dis à moi-même.

         Est-ce que c’est vraiment le soleil que je vois au travers de la toile?  

         Non, c’est sans doute l’au-delà!

         Est-ce que je suis mort?

         Mais non crétin! Lève-toi. C’est le matin. Tu as survécu à ta première nuit en solitaire dans la faune sauvage canadienne.

BRAVO CHAMPION!

Après avoir récolté un peu d’eau pour me préparer un petit thé, je me pose près de la cendre encore fumante pour me réveiller un peu et je planifie la journée qui commence à se pointer le nez. Après quelques minutes à réfléchir et en levant la tête vers le ciel, pour je ne sais quelle raison, je comprends ce que je viens de vivre.  Je me dis que c’était le prix à payer en voyant le brouillard se disperser pour faire place aux sommets enneigés des Rocheuses.

Ouf, mais quel paysage grandiose!

 

Le bruit intense de l’eau qui dévale sur les pierres arrondies par le courant des glaciers qui fondent me laisse sans mot. Le vent berce et fait doucement valser les nouvelles feuilles des arbres tout aussi endormis que moi. Les rayons du soleil brise la noirceur de cette nuit froide.

J’ai l’impression de rêver. Ma dernière nuit ne me semble qu’un rêve en voyant le paysage se dessiner de la sorte. Je suis habité par une énergie que je ne pourrais décrire avec des mots. Seuls mes yeux sont les gardiens uniques de ce souvenir.

On ne sait jamais trop dans la vie si on a fait le bon choix, sauf quand ce genre de sentiment nous habite. Je n’ai plus jamais ressenti la même plénitude que ce matin-là.

Je croyais pourtant, quelques heures avant, que c’était la fin, le point où j’avais fait une erreur qui allait me coûter la vie. Malgré tout, ces angoisses s’étaient complètement estompées au moment même où j‘avais ouvert la fermeture éclair de mon bivouac. Je venais de comprendre que j’avais pris la bonne décision. J’y croyais profondément et je ressentais que c’était le début d’une belle grande aventure.

J’avais compris quelque chose de puissant durant ce même matin. Quelque chose qui allait me servir pour le restant de ma vie…

J’avais fait en sorte d’être où j’étais à ce moment-là. Personne n’avait mis son grain de sel ou ne m’avait dit quoi faire ni comment le faire. J’étais le propre créateur de mon bonheur et j’allais l’être pour bien longtemps si je gardais cette force d’esprit. Tant et aussi longtemps que j’allais me fait confiance, ce genre de moment parfait allait m’arriver.

Il fallait arrêter de les chercher et simplement faire l’effort de les créer.

Mon bonheur ne reposait que sur mes propres choix.

Je suis resté deux ans en Colombie-Britannique…

C’est aussi ce moment précis, et les deux années qui ont suivi, qui ont fait que j’ai aujourd’hui visité 15 pays, que j’ai rencontré des gens de partout dans le monde qui m’ont influencé et m’ont inspiré.

J’ai laissé le craintif de cette première nuit mourir au bord du feu.

Aujourd’hui, je n’ai plus peur de moi-même et j’ai toujours cette soif d’aventure dont Indiana Jones serait fier!

Voyager m’a ramenée aux études !

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Voyager m’a ramenée aux études !

Par: Christine Martel

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Voyager ou étudier?

Tout quitter pour voyager…

Excitant, terrifiant?

Un peu, mais pas forcément vrai! Parce que NON, l’école ne nous tient pas en laisse, ton employeur et ta famille non plus d’ailleurs.

La seule laisse qui existe, c’est celle que tu t’es mise toi-même.

Well, moi je l’ai fait! J’ai tout quitté du jour au lendemain. J’avais besoin de me trouver, j’avais soif de découverte, envie d’apprendre de nouvelles cultures, découvrir de nouveaux paysages, voir comment les gens vivent, ailleurs qu’en Amérique du Nord. Il y avait ce besoin de liberté et de me sentir dépaysée qui était là. J’ai vécu un peu plus de 3 ans selon mon grée, à seulement suivre mes feelings. J’ai vécu des moments absolument incroyables, qui m’ont fait énormément grandir.

Aussi, j’ai voyagé dans des endroits tellement pauvres que j’ai compris la chance que nous avons d’avoir accès à l’éducation si facilement. Nous sommes chanceux que des gens ici ce soient battu pour cette éducation. J’ai rencontré des gens, des enfants qui avaient qu’un seul désir : aller à l’école, apprendre à lire et à écrire.

CE SONT CES PERSONNES QUI M’ONT OUVERT LES YEUX.

Avoir un toit, pouvoir se nourrir, se vêtir et être entouré d’amour est l’essentiel! L’éducation elle, c’est un luxe, qui malheureusement est trop prise pour acquis dans notre société.

On ne peut pas comparer l’école au voyage.

En voyageant, on apprend à être autodidacte. C’est l’école de la vie. Mais l’école nous apprend des connaissances théoriques, pratiques et surtout la persévérance face à l’adversité.

C’est certain que de vivre au bord de la plage et découvrir de nouveaux endroits est beaucoup plus attrayant que de rester enfermé dans une classe durant 8 heures. Mais ce n’est pas cette école qui nous définis, après tout ce n’est qu’un diplôme. L’important après tout ça, c’est ce que vous allez faire.

Je crois vraiment que voyager est le meilleur moyen de grandir en tant que personne, mais pas au détriment de notre éducation. Si on peut apprendre du voyage, on peut aussi apprendre de la routine.

Et puis… l’école ça ne dure pas toute la vie!

C’est seulement un chemin dont on ignore encore la destination finale.

 

 

 

 

 

Voyager en Asie… aussi grandiose qu’exceptionnel !

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Voyager en Asie… aussi grandiose qu’exceptionnel !

Christine Martel

Pour moi, ce fut l’un des plus beaux voyages de ma vie. Ce n’était ni le premier ni le dernier, mais c’était très certainement le plus éprouvant côté apprentissage sur soi-même. L’Asie c’est grand, c’est vaste. Cela dit, mon périple m’a menée de la Thaïlande au Cambodge en passant par le Laos et le Vietnam. Alors prenez 5 minutes de votre temps et accompagnez-moi dans ce coin du monde aussi riche que mystérieux !

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